L'actualité de nos collaborateurs
Directeur général et associé fondateur de Taddeo, Julien Vaulpré profite de fortes connexions politiques pour s’imposer dans le conseil stratégique.
« C’est comme M6, le petit cabinet qui monte », peut-on lire dans le rapport de VcomV (Stratégies n°2083). Taddeo compte aujourd’hui soixante clients actifs parmi lesquels Amazon, Uber, Aldi, Axa, Elior ou Meilleurtaux. Il est présent sur les sujets de crise que ce soit un plan social (Bosch), le dieselgate (Volkswagen) une bataille boursière (Suez) ou un scandale d’image (Sciences Po). À sa tête, Julien Vaulpré, 45 ans, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, est devenu incontournable pour toucher deux hommes clés de la Macronie : Jean Castex et Bruno Le Maire.
Voir l'actuChallenges - Julien Vaulpré affiche volontiers son tableau de chasse : à la veille de ses dix ans, l’agence de communication et d’influence qu’il dirige, Taddeo, compte Axa, Elior et Suez comme clients. Mais ce sont également ses réseaux poli- tiques qui ont permis à la société de 25 consultants d’acquérir une vraie épaisseur, au point qu’elle se rêve en relève d’Image 7 et DGM. Lire la suite.
Voir l'actuLe Figaro Magazine - À un an du premier tour de l’élection présidentielle de 2022,
Gilles Finchelstein, délégué général de la Fondation Jean-Jaurès, et Julien Vaulpré, directeur général de Taddeo, s’inquiètent de la lassitude et de la morosité des Français. Une situation qui rend le scrutin imprévisible.
L'interview croisée dans Les Echos de Julien Vaulpré, directeur général de Taddeo, avec Jérôme Jaffré, politologue.
Après les « gilets jaunes », la France affronte avec les retraites sa deuxième grande crise sociale en un an. Qu' en conclure sur l'état du pays ?
Julien Vaulpré : Ces deux crises ne sont pas de même nature. Celle des « gilets jaunes » il y a un an s'apparentait à la révolte des classes moyennes qu'ont connue d'autres pays occidentaux. Violente, sans mot d'ordre, floue dans ses objectifs, avec l'idée que le peuple souverain devait purifier l'ensemble: elle n'a rien à voir avec le mouvement que nous vivons sur les retraites. Depuis décembre, et même si ce conflit est inédit par son ampleur, nous retrouvons un théâtre social classique, avec un objet précis, des syndicats qui demandent son retrait ou son amendement, et un gouvernement qui cherche une voie de passage.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans les Echos
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